Le gouvernement indien est actuellement en pourparlers avec le Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour l'utilisation de son prototype de batterie de 1MW selon le Secretaire a l'énergie H.S. Brahma.
Le Ministere de l'Energie a propose de developper une collaboration avec le MIT dans le cadre de l'Indo-US Science & Technology Forum pour transformer ce prototype en produit commercial, afin de repondre aux besoins en energie croissants du marche indien. Cette proposition a ete discutee durant la visite du Secretaire a l'Energie americain Steven Chu au mois de novembre. Une délégation officielle devrait rencontre le MIT pour discuter des modalites et des clauses de propriété intellectuelle. H.S. Brama a annonce que ce projet serait mis en place conjointement par le BHEL (Bharat Heavy Electricals Ltd) et la NTPC (National Thermal Power Corporation) dans différents sites afin d'evaluer les couts et la qualite de l'energie produite.
L'Inde etant un pays a climat tropical ayant plus de 10 mois d'ensoleillement par an ce type de produit permettrait d'assurer l'acces a l'energie des villes secondaires soumises a des coupures durant les pics de consommation. Ce systeme de batterie pourrait aussi etre charge grace a l'énergie eolienne. Brahma admet que le cout des cellules photovoltaiques est actuellement prohibitif mais une collaboration avec le MIT pour la Recherche et le Developpement pourrait permettre de rendre le cout de ces batteries accessibles.
Une nouvelle méthode d'extraction de l'arsenic des eaux contaminées a été mise au point par une équipe de scientifiques Indiens et Européens. 6 installations ont actuellement été testées dans l'État du West Bengal, une des régions les plus contaminées par l'arsenic dans le monde. On estime que 140 millions de personnes sont actuellement contaminées par la pollution des nappes phréatiques a l'arsenic. Cette exposition peut provoquer des cancers de la peau, des poumons, du cœur et des reins.
Les six installations produisent actuellement 2000 litres d'eau potable par jour avec des niveaux d'arsenic avoisinant les 2 micro grammes par litre. A Kasimpore 70% des puits ont des taux d'arsenic de 50 micro grammes par litre (l'OMS déconseille la consommation d'eau dont le taux d'arsenic et ...
L'India Genetic Engineering Approval Committee (GEAC) autorité indienne de régulation des organismes génétiquement modifies a approuve le 14 octobre 2009 la mise en culture d'une espèce d'aubergine génétiquement modifiée mais le gouvernement s'est actuellement oppose a leur mise en culture et la décision finale ne sera finalement prise qu'au début de l'année 2010.
Mathura Rai, directeur de l'Indian Institute of Vegetable Research, qui a menè des recherches sur cette variété a pousse le gouvernement a accepter la mise en culture. 40% des plans d'aubergines sont actuellement détruis par des parasites; l'introduction des ces semences produirait donc un gain immédiat de production. Les opposants a l'introduction de ces semences ont contacte le centre de recherche afin de vérifier l'indépendance des services de contrôle.
Le Centre for Science and Environment (CSE) a averti le gouvernement qu'une autorisation de mise en culture devrait s'accompagner d'un stricte contrôle de l'étiquetage des produits cette mesure n'existant pas encore en Inde, ce qui rend impossible le choix pour les consommateurs.
Les programmes de protection de la biodiversité en Inde se concentrent sur le tigre mais un grand nombre d'espèces sont actuellement menacées en Inde. 687 espèces sont menacées de disparition a ce jour, ce qui fait de l'Inde un des 10 pays avec le plus grand nombre d'espèces menacées. Ces espèces comprennent 96 mammifères, 67 oiseaux, 25 reptiles, 64 espèces de poissons, 213 invertébrés et 217 espèces de plantes selon le dernier rapport de International Union for Conservation of Nature (IUCN).
Jane Smart directeur de l'IUCN Biodiveristy Conservation Group estime que les dernières analyses réalisées montrent que les objectifs fixes pour limiter le nombre de disparitions pour l'année 2010 ne pourront être atteints.
Les scientifiques estiment que ces disparitions sont source de préoccupations du fait qu'elles réduisent la biodiversité mais aussi déséquilibrent les écosystèmes. Sur cette liste 28 nouvelles espèces ont été ajoutées en Inde entre 2008 et 2009 dont 24 sont des espèces de poissons, ce qui montre les problèmes de pollution récurrents que connaissent de nombreux cours d'eau en Inde.